Punitions de nuit (2)

Josette Trauttmann j'ai découvert ce site et surtout ce qui se passait là bas ce matin.Je n'avais jamais entendu parler de ces actes barbares,et en plus tenu et géré par des "chrétiens".On parle beaucoup de pédophilie dans l'église catholique et pas pour un cas!Les gens sont "fous" Oui je comprends que lles jeunes n'en parlent pas,je fais le rapprochement avec les déportés qui se sont tus car un récit pareil .......difficile à croire et pourtant il faut témoigner.Mon mari et moi en lisant sur ce site on se disait tu as entendu des choses là dessus! Alors courage battez vous afin que les Français sachent que les Allemands n'étaient pas les seuls fous!Trés honnetement je pense que partout sur cette terre il exite des timbrés§
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Brejaud Emile Merci beaucoup pour votre patience d'avoir lu ce blog...Milou

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Daniel Rabiah en tant qu'ancien de ces centre je vous remercie pour votre soutiens.

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Lpe Soru C'est sur André c'était souvent part des température en dessous de zéro. En plus levé en pleine nuit et descendre les marches sur les genoux et faire le tour de la cour et retour dans le dortoir

Punitions de nuit

la punition consistait à nous faire marcher et courir en alternance la nuit sur des routes de montagnes.sur 14 km .
De retour au centre , dans la cour nous faisions une cinquantaine de pompes ou plus suivant l'humeur du chef puis un à deux tour de cour de marche en canard et ensuite un tour ou deux de cour à genoux , cela sur du goudron empli de gravillons , cela ne suffisant toujours pas nous devions refaire un tour de cour à genoux et pour que cela nous fassent plus souffrir les mains sous les genoux .
Cet acharnement faisait que nous ne nous couchions pas avant 1 h ou 2 h du matin et le lendemain il fallait être debout à 6 h 45 pour le cross du matin avant le petit déjeuner .

On courait sans bruit avec nos mines assombries
Malgré la fatigue d'une journée , notre solidarité nous faisait avancer
Comme des spectres nous allions , sans faire ni vague , ni cris
Des regards furtifs nous observaient 
Mais leurs bouches se taisaient
L'écho de nos pas se répercutait au lointain à notre passage
Et nous , nous continuions à en baver
Jours après jours
Mois après mois 
Année après année