Une petite histoire
me revoilà. Ce qui m’est arrivé un jour nous étions en cours et l’heure de la récréation arrivé ce jour-là j’ai surpris deux de mes camarades d’école s’enfuir à toute vitesse de la classe je ne savais pas ce qu’il se passait la récréation fini il manquait à l’appelle les deux camarades et un long moment après la cheftaine Marcelle mon bourreau me demanda si je n’ai pas vu mes camarades non donc elle on a déduit qu’ils une fugue, mais dans ce centre on était toujours rattrapé, avec les habitants de Mercury qui fermaient les yeux surtout j’appelle ça non-assistance à personne en danger, nos cris de douleurs que les bourreaux nous infligés se retentissaient, assez loin à la ronde pour que tout le monde entende, mais personne n’a bougé le petit doigts, eh bien ils ont été repris vers 2 heure du matin, et faite-moi confiance, lorsque les gendarmes ont ramené mes deux camarades ils ont été tondu la boule à zéro et des coups à n’en plus finir, avec douche glacée c’était en plein hivers, donc ce bourreaux L’Abbé Garin téléphona à la cheftaine du col de Tamié ou je me trouvé pour lui dire qu’ils avaient un complice, mes pauvres camarades ont tellement été martyrisé, par des coups, des injures, sur tout ça ils ont dit n’importe quoi il m’ont vu lorsqu’ils sont parti et ils ont dit mon nom Guibourt. Le bourreau de joseph est venu me sortir de mon lit (pour information nous dormions tout nus, les habits pliés au- pieds du lit) je me demandais ce qui m’arrivé, des coups partaient dans tous les sens je me suis mis à saigné du nez et bien Marcelle mon bourreau attendait avec la tondeuse, j’ai eu droit à la boule à zéro, je ne pouvais rien dire, une fois les cheveux coupé l’autre bourreau me tabasser encore bien plus et il dirigea vers les douches, l’eau glacée et comme cela ne suffisait pas il prit la lance à incendie pour m’arroser je suffoquais, la suite pour moi a été le plus terrible, il fit descendre les gamins habillés dans la cour avec beaucoup de neige, ils ont formé un cercle et moi j’ai dû courir tous nu la honte de ma vie et à chaque fois que je voulais mettre mes mains devant je recevais de la part de Marcelle mon bourreau, des coups de baguettes elle était si fine à chaque coups j’avais comme des fourmis même encore maintenant je pense à ça et je ressens cette violence de ce jour, je suis bloqué, j’ai fait beaucoup de courses à pieds, et les coureurs prennent leurs douches sans se gêner, moi je n’ai jamais pu, j’ai cette honte en moi, qui par-dés-fois je pleurs, je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi ces bourreaux m’ont infligé cette atroce punition j’avais 11 ans, alors si vous Marcelle vous lisez ce message, soyez dans la logique dite au moins la vérité, je ne veux pas de vengeance Mme Marcelle, simplement que vous vous repentez de tous les supplices que vous nous avez infligez, je suppose que vous avez un certain âge ou vous voulez être au calme je comprends, mais libérez-vous de toutes ces atrocités, que vous et vos collègues ont pris un malin plaisir, à nous ridiculisé, tous ces coups répétés, me faire honte devant tous les élèves lorsque je ne savais pas mes leçons, j’étais privé de manger tant que je savais pas mes leçons, je n’avais pas le droit de me mettre à table, j’apprenais mes leçons au coin du réfectoire à genou sur un manche à balai, et j’ai eu le droit de mettre au bout de repas, ce jour-là je me mettais à table, mais je n’avais droit au repas du jour il fallait que je mange mes 4 assiettes qui étaient au frigo c’était glacé je devais tout manger, avant de prendre des coups. Vous avez du vous marié Mme Marcelle et eu des enfants, et avec eux comment vous vous êtes comporté, je ne cherche pas à me venger, je vous pardonne mais dite la vérité et je suis sûr que vous serez soulagé et nous aussi, réfléchissait Mme n’emporté pas avec vous ses secrets de cette violence, j’ai besoin de votre franchise penser à votre famille, vous pouvez m’envoyez un message, je crois que vous me devez bien ça. Faire la paix c’est magnifique, alors pensez-y amicalement Michel Guibourt