j étais pensionnaire chez l'abbé Garin

"Bonjour j étais pensionnaire chez l'abbé Garin de 1959 à 1965. J ai lu et vécu les différents témoignage des anciens. L'article de Gèrad Burlett en autre me permettra peut de me remémorer me rapprocher de cette génération. Idem pour l'Assc,naturellement. Que sont devenus les Gèrard Burlett, Hocine, Kaoul Adallah, Mohamed et j'en oublie, c'est aussi l' objet de ma missive Bien amicalement Je ne sais pas ce qu'est URL"

Ce commentaire a été posté par ouadad michel.-----------------------------------------Gérard Burlett bonjour Michel ouadad ! ça me fait plaisir de voir un petit message de ta part sur le site je me rappelle très bien de toi j'étais aussi à Mercury et Tamié avec toi de 1960 à 1965 l' année de notre certificat d'études ( avec la Marcelle , il y avait chef Gaby , joseph Geay,etc.... !!!!!! tu te rappelles de corronado lucien! Bardiaux! Bouvier jean Marie! les frères Balme de Grenoble ! Locatelli! Tomasset ! Raisin Gilbert !etc...... à l'age de 19 ans j'ai vécu à Paris pendant 19 ans et là ça fait 29 ans que je vis à Marseille j'espère que tu vas bien et que tout va bien pour toi !! très Amicalement

les pots de chambre .

Mon ressenti sur les pots de chambre .

Nous avions un pot de chambre au milieu du grand dortoir
Moi et les pots de chambre ça ne l'a jamais fait et ça ne le fera jamais , la vision de ce " récipient " m'a toujours fait peur et dégoûté dès ma petite enfance ; Comme je l'avais raconté ,dans le collège à Palerme , ( collège car en Sicile il y avait de tous les âges , y compris les touts petits ) , nous avions de petits dortoirs de 8 ou 9 garçons avec des placards au fond et deux grandes baies vitrées sans volets , ces petits dortoirs couraient tout le long d'un long couloir . Mon dortoir était collé à l'église et la seule surveillante méchante c'était mon groupe qui l'avions , elle nous mordait les cuisses si nous faisions pipi au lit . Revenons au pot de chambre , moi ce qui me faisait peur c'était que mon lit était collé à la porte qui donnait sur le couloir et j'avais la vue sur ce couloir sombre dans lequel était le pot de chambre , j'avais peur de me lever pour aller uriner et le matin cette vieille me mordait les cuisses car mon lit était mouillé , et pour nous punir en plus le soir elle nous enfermait dans l'église pour nous entendre crier de peur . Un soir quand elle a rouvert l'église elle a vu que je ne criais pas , je dormais accoudé à une table et elle m'a laissé seul pour que j'ai encore plus peur et dans l'espoir que je crie . 
Donc à Mercury je n'ai jamais voulu me servir du pot de chambre , j'ai essayé une fois et voyant qu'il était rempli à ras bord ça m'avait plus donné envie de vomir qu'autre chose . Ayant vu que leur sonnette d'alarme au galetas c'était des conneries , j'ouvrais la fenêtre doucement et j'urinais . 
Il y avait pourtant des toilettes mais ils nous enfermaient la nuit , imaginez qu'il y ait eut le feu , nous aurions été prisonniers des flammes . En tout cas heureusement je n'ai jamais eu à vider le pot de chambre !

PS : A Mercury il y avait un grand dortoir au 1er étage et un au galetas , chacun divisé en deux par un espace et un pot de chambre par étage . A Tamié , idem un au dessus des cuisines et un au 1er étage aussi au dessus du préau au fond .

Torrents, cascades et plans d'eau pour nous rafraîchir …

Tout d'abord , bravo , tout ce que vous avez décrit est bien vrai , n'oubliez pas le torrent qui descend derrière l'abbaye de Tamié . Pour moi la première photo représente ce coin précis que vous montre toutes ces différentes photos qui monte à l'Etanche où Maryvonne nous arrêtait en montant pour les grandes vacances à tamié . Nous étions un petit groupe de 6 ou 7 et nous avons suivi la rivière et sommes tombés sur la maison que j'ai encadré en bleu qui était une vieille ferme à l'époque . Nous avions trouvé une porte ouverte , nous étions entrés et découvert un vieil obus puis nous étions retournés vers la rivière pour faire un barrage , de ce fait l'eau nous arrivait à la taille . Puis nous nous sommes baignés et , inconscients que nous étions , on balançait l'obus dans l'eau de toutes nos forces ! C'est quand même un bon souvenir car lorsqu'on nous lâchait dans la nature , on oubliait le reste et étions libre de tous mouvements . Puis lorsque la cheftaine criait pour que l'on se rassemble nous redevenions les enfants craintifs et attentionnés à ce qu'il pourrait nous arriver . Un autre souvenir , dans cette cabane , on avait trouvé aussi une dizaine de couteaux et sachant que l'on ne pourrait les emmener au centre , nous les avions planté au pied d'un arbre , j'y suis retourné depuis et il n'y avait plus rien bien sûr. Il y avait aussi d'autres rivières où nous nous amusions bien , à 1 km de la liane un petit coin boisé il y avait un pont et un grand ruisseau , on nous faisait descendre du pont et on jouait tout l'après midi .
P.S : toutes les maisons que l'on voit aujourd'hui , (où se trouvait la vieille ferme ) n'étaient pas construites à l'époque .-----------Michel Guibourt Oui dans les ruisseaux, on était fous--------------------Brejaud Emile Jeu dans le torrent en allant à Tamié ou dans le bois ...saint François ?..en dessous de l'église de Mercury..il y avait une vieille ferme en ruine...-------------Serge Thielges Nous cherchions des écrevisses, je ne me rappelle plus de l'endroit, elles étaient noires-------------Michel Guibourt Que de souvenirs, c'est invraisemble de se rappeler de toutes ces petites anecdotes, merci les amis--------Daniel Rabiah peut être à la rivière où l'ont traversé une voie de chemin de fer il y avait des truite dedans il y en avait un qui en avait attrapé---------------Lpe Soru Oui c'est bien ca André après le virage en montant a l'abbaye a droite j 'y suis allé pique nique quand il y a eu la canicule (2003?) ?